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Dossier : Ondes électromagnétiques et santé


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Le débat ouvert lors de la 3e journée "Santé et Environnement" à l'Assemblée Nationale incite à la vigilance.

De G à droite Dominique Bourg, Nathalie Kosciusko-Morizet, Pierre LascoumesNous avions déjà rencontré le député Nathalie KOSCIUSKO-MORIZET lors des débats en faveur de la Charte de l'environnement à l'Institut des Sciences Politiques de Paris. Nous la retrouvons avec plaisir lors de la rencontre parlementaire "Santé et Environnement" consacrée au thème "Ondes électromagnétiques et santé" créée à son initiative.

Ce dossier illustre l'ouverture d'esprit de nos parlementaires et leur souci de la santé publique. La santé durable passe par une information aussi complète et objective que possible. Ce dossier, réalisé par Frédéric FORT vous rapporte les divers points clefs des interventions et vous donne un éclairage panoramique et diversifié sur la question controversée de l'impact des ondes électromagnétiques sur la santé. Nous ne pouvons que nous réjouir que nos parlementaires organisent des débats contradictoires sur des sujets qui concernent au plus haut point notre santé et celle des nouvelles générations. Après l'adoption par la Charte de l'Environnement dans notre Constitution, nos élus poursuivent leur mission pour préparer la mise en place des outils du développement durable, un progrès maîtrisé, utile et préservant à la fois l'environnement et la santé publique. Qu'ils en soient ici remerciés. Image : Dominique Bourg, Nathalie Kosciusko-Morizet, Pierre Lascoumes.  A suivre...

téléchargez ici le programme en format pdf

Guy ROULIER


3èmes RENCONTRES PARLEMENTAIRES "SANTE ET ENVIRONNEMENT"

Ondes électromagnétiques et santé :
Avis de vigilance générale : compte-rendu exclusif de notre correspondant Frédéric FORT

Environnement et santé : l'Assemblée Nationale à l'avant-garde de l'information.

L'Assemblée Nationale a organisé, en décembre dernier, et pour la troisième année consécutive, une journée rencontres et débats sur l'environnement et la santé. Ces journées de rencontres ont été créées à l'initiative de Nathalie KOSCIUSKO-MORIZET, députée UMP de l'Essonne, qui est par ailleurs Présidente du groupe d'études santé et environnement de l'Assemblée Nationale. Ce groupe rassemble plus de 80 parlementaires de toutes tendances, tous soucieux d'approfondir leur compréhension de ces problèmes, désireux de la faire partager et d'être porteurs de propositions utiles.

Ces rencontres parlementaires ont vocation à réfléchir, à alerter et sensibiliser sur des problématiques situées à la croisée d'enjeux de santé publique et environnementaux. Les deux premières éditions se sont successivement attachées aux impacts sur la santé du bruit et des pollutions chimiques.

Cette année, le thème abordé était donc celui des champs électromagnétiques, avec ce titre évocateur : "ondes électromagnétiques et santé : avis de vigilance générale". Le but affiché était de réunir les différentes parties concernées afin de faire le point sur les études et les données scientifiques les plus récentes et d'en débattre.

Ainsi étaient présents :
  • des représentants des pouvoirs publics et des responsables politiques (Députés, Sénateurs)
  • des responsables des autorités administratives (Direction Générale de la Santé, de l'Institut National de Veille Sanitaire ...)
  • des industriels (Directeur Général Adjoint de BOUYGUES TELECOM, Directeur des études médicales EDF-RTE)
  • des scientifiques de renom (chercheurs, médecins et épidémiologistes)
  • des représentants d'associations de citoyens et consommateurs, mais aussi d'associations indépendantes de recherche et d'information (CRIIREM, PRIARTEM ...)
  • un géobiologue Suisse.
La téléphonie mobile : analyse du risque

Cette journée fait écho à la proposition de loi visant à la réduction des risques liés à la téléphonie mobile, déposée en septembre dernier par huit députés. L'esprit de ce débat était de faire prendre pleinement conscience aux citoyens comme aux responsables politiques, que le rythme de développement des technologies liées aux télécommunications dépasse de loin les capacités actuelles d'analyse du facteur risque. En d'autres termes, sans vigilance de notre part, notre surexposition permanente aux ondes magnétiques pourrait agir comme une bombe à retardement et devenir, par là même, une des grandes crises de santé publique de demain.

Qu'est-ce qu'un champ électromagnétique ?

Tout d'abord, rappelons ce qu'est un champ électromagnétique (CEM). C'est le couplage d'un champ électrique et d'un champ magnétique. Le champ magnétique n'apparaît que lorsque le courant circule ; plus l'intensité du courant est élevée et plus le champ magnétique est important. Les CEM qui ont fait l'objet des études sur la santé que nous allons aborder sont ceux dont la fréquence se situe entre 1 hertz (1 Hz) et 300 gigahertz (300 GHz), et se décomposent schématiquement ainsi :

- Les champs de basse fréquence (entre 1 Hz et 10 KHz), qui incluent aussi les champs d'extrêmement basse fréquence (1 Hz à 300 Hz), appelés ELF (extremly low frequency). Les plus utilisés sont ceux ayant une fréquence de 50-60 Hz, soit la fréquence de l'électricité domestique que nous utilisons en permanence. Les sources d'exposition principales sont nombreuses : lignes électriques, transformateurs, câbles souterrains, voies ferrées, éclairages publics et, plus près de nous, installations électriques domestiques, appareils ménagers, photocopieuses, ordinateurs ...

- Les champs de radiofréquence (RF) dont la fréquence est comprise entre 1O KHz et 300 GHz et qui incluent les champs d'hyperfréquence (entre 300 MHz et 300 GHz) dont une partie appartient aux micro-ondes. Ils ont pour principale origine les antennes de radio et téléphone, de radar, de téléphonie mobile, mais aussi les fours à micro-ondes.

Des résultats contradictoires

Avant tout, précisons que les études scientifiques sont très nombreuses de par le monde, mais que leurs résultats sont souvent contradictoires. Elles sont soit épidémiologiques, soit d'évaluation directe des risques (sur des cellules, tissus ou animaux). Dans les deux cas, beaucoup d'entre elles concluent à une possibilité de dangerosité, mais sans toutefois pouvoir tirer de conclusions définitives. Si certaines sont contradictoires dans leurs résultats, cela tient au manque de recul nécessaire, aux difficultés de mesures et d'analyses, ainsi qu'aux méthodologies employées, souvent différentes.

Si le doute n'est pas levé quant aux risques réels, il l'a par contre été sur la soi-disant indépendance et impartialité de certaines études publiées. En effet, grâce à l'intervention d'un auditeur visiblement bien renseigné, il a été révélé que les industriels concernés finançaient en partie certaines études, ou rétribuaient des responsables de groupes d'études ou fondations, ou des membres du comité scientifique de ces derniers. Même si le financement privé est souvent une nécessité pour ces recherches coûteuses, où peut se situer l'indépendance réelle et donc la vérité dans ces cas-là ? Ceci va donc relativiser en partie les résultats des études que nous allons aborder à présent.

Les lignes à haute tension

Commençons par les lignes à haute tension, dont les champs relèvent des ELF. Au mois de juin 2005, les résultats de la plus vaste étude statistique sur le risque de leucémie chez l'enfant, associé à la proximité des lignes H.T., établissent nettement une corrélation entre distance des logements et fréquence des cas de leucémie. Ainsi, les enfants vivant à une distance entre 200 et 600 mètres d'une ligne H.T. auraient 23 % de risque supplémentaire d'être atteints de ce cancer. Pour ceux vivant à moins de 200 mètres, ce taux s'élèverait à 70 % par rapport aux enfants habitant dans un rayon de 600 mètres. C'est énorme. Ces résultats ont beaucoup surpris les scientifiques, car nul n'escomptait un tel lien. Des explications ont été recherchées et il est apparu qu'on ne savait pas expliquer l'effet de ces CEM à une distance supérieure à 200 mètres. Les experts estiment que la fréquence des leucémies double pour une exposition régulière supérieure à 0,4 µT (microTesla). Ceci peut s'avérer valable pour des personnes exposées fortement et régulièrement à ces champs ELF (conducteurs de trains, personnes travaillant près d'appareils électriques puissants, couturières...). On estime également que les cas de leucémies imputables aux rayonnements ELF se chiffrent entre 200 et 2000 par an dans le monde (pour 11 millions de cas de nouveaux cancers). Même si ce chiffre peut paraître minime, ce sont toujours 200 ou 2000 cas de trop.

Michèle RIVASI, Présidente de la CRIIREM (l'équivalent de la CRIIRAD mais axé sur les problèmes liés aux CEM), cite également l'étude du Dr SAVITZ qui mettait en évidence des pathologies cardio-vasculaires irréversibles et celle du Dr PERRY sur les troubles neurologiques, les dépressions et les suicides, les avortements spontanés et les ruptures d'ADN... Ces données viennent confirmer l'avis du CIRC (Centre International de Recherche contre le Cancer) qui classait dès 2001 ces CEM dans le groupe 2b des agents potentiellement cancérigènes. Certaines études montraient un risque accru de cancer du sein chez des femmes non ménopausées exposées à de forts niveaux d'ELF, mais d'autres études plus récentes n'ont démontré aucun risque. A noter que certains vétérinaires se sont penchés, et ce dès le début des années 70, sur les effets des lignes haute tension sur le bétail (maladies diverses, taux élevés de mortalité, baisse de la fertilité et de la production de lait...).

Que faire pour se protéger ?

Nathalie Kosciusko-MorizetConcrètement et au quotidien, il est conseillé d'éviter la surexposition aux appareils électriques, ménagers ou autres, surtout près de ceux-ci, le niveau des CEM étant décroissant de façon proportionnelle avec la distance. Attention aux appareils électriques auprès desquels on séjourne longtemps, trop près du lit ou du bureau (radio-réveils, fils électriques, ordinateurs, télévision, téléphones sans fil...) mais aussi aux appareils tels fours à micro-ondes, baby-phones, rasoirs, sèche-cheveux... Au sujet des fours à micro-ondes, leurs magnétrons sont dérivés des systèmes radars. A la fin de la seconde guerre mondiale, les avions ont été munis de radars qui étaient alors placés entre les jambes du pilote. On s'est aperçu au cours des années suivantes qu'un grand nombre de ces pilotes étaient devenus stériles. Cela fait réfléchir... Eviter ou s'éloigner des sources de CEM au maximum et le plus souvent possible serait donc une bonne habitude à prendre.

Téléphonie mobile : vigilance et principe de précaution.

Sur le front de la téléphonie mobile, même si les travaux les plus récents dans ce domaine ne concluent pas à l'existence de risques réels pour la santé, ils ne doivent pas faire oublier l'existence d'expertises beaucoup plus mitigées quant à leurs résultats :
  • Tumeurs du cerveau, peu confirmées.
  • Cancers du nerf auditif (neurinome) ou gliomes (tumeurs cérébrales malignes), risques accrus selon des études scandinaves récentes (risques très faibles mais présents), particulièrement avec les anciens systèmes analogiques et chez les utilisateurs les plus anciens (10 ans et plus).
  • Effets sur l'activité cérébrale, sans traduction pathologique.
  • Action thermique minime (+ 0,1 à 0,2°) dont aucune nocivité n'a été démontrée à ce jour.
  • Effet de perméabilisation de la barrière hémato-encéphalique, mais les études sont contradictoires dans leurs conclusions.
  • Effets génotoxiques : il a été constaté des ruptures d'ADN, simples et doubles, mais là encore les résultats varient d'une étude à l'autre.
  • Inflammations de la conjonctive de l'œil, heureusement réversibles.
  • Diminution significative de l'oestradiol et du flux utéro-placentaire chez les rates.
  • Chute de l'activité SOD (Super Oxyde Dismutase)
  • .
  • Augmentation de la péroxydation lipidique.
  • Baisse des NK (Natural Killers), lignée de défense naturelle anti-cancéreuse.
Ces trois derniers résultats plaident à eux seuls pour une vigilance accrue et l'application du principe de précaution, car ils mettent en cause des éléments fortement impliqués dans les phénomènes de carcinogenèse. La vigilance scientifique en matière de téléphonie mobile doit être de mise et soulève de nombreuses questions :
  • Quels sont les mécanismes d'action des CEM sur le corps humain ?
  • Existe-t-il une susceptibilité et une fragilité particulière chez les enfants et à fortiori les bébés ?
  • Existe-t-il un risque de maladies neuro-dégénératives ?
  • Qu'en est-il des systèmes Bluetooth ou Wifi dont la fréquence est celle des fours à micro-ondes (2450 MHz) donc celle de l'agitation des molécules d'eau, même si la puissance est très faible ?
  • Existe-t-il des interactions entre les différents CEM et d'autres systèmes et modes d'usage ?
Autant de questions auxquelles il serait bon de répondre le plus scientifiquement et le plus rapidement possible.

Pour un bon usage du téléphone mobile

Concernant plus directement les consommateurs, l'urgence est de concevoir et de diffuser des campagnes nationales d'information pour promouvoir les bonnes pratiques, telles que préconisées par l'AFSSET, à savoir :
  • Eviter les conversations longues et inutiles, surtout quand la réception est mauvaise.
  • Changer d'oreille régulièrement.
  • Eloigner l'appareil le plus possible de l'oreille, surtout en début d'appel où la puissance est la plus forte.
  • Eviter de téléphoner en se déplaçant (train, voiture ou bus qui en plus font cage de Faraday), car à chaque fois que l'on change d'émetteur, la puissance d'émission du téléphone est à son maximum. Il faut savoir qu'entre son niveau mini et maxi, celle-ci peut être multipliée par 1000.
  • Attention également aux zones de mauvaise réception qui, comme dans le cas des déplacements, font augmenter la puissance de l'appareil.
  • Privilégier l'utilisation du kit piéton (oreillette) inclus dans tous les coffrets depuis 2000.
  • Acheter de préférence un téléphone dont le DAS (Débit d'Absorption Spécifique) est le plus bas possible et dont la mention est désormais obligatoire sur les fiches de vente.
  • Ne jamais téléphoner au volant, d'abord parce que c'est interdit, et surtout parce que c'est encore le risque le plus prouvé et le plus direct : augmentation de 1,5 à 4 fois (selon les études) du risque d'accident.
  • Ne pas acheter de téléphone aux enfants de moins de 10 ans, étant à priori les plus fragiles, tant que l'on n'est pas absolument certains de leur innocuité.
Principes de précaution et de prévention bien appliqués commencent par soi-même.

Les antennes-relais

En ce qui concerne les antennes-relais de téléphonie mobile, en l'absence d'études fiables et ayant suffisamment de recul, elles sont considérées comme non dangereuses car leurs niveaux d'exposition (très variables d'un endroit à un autre) sont inférieurs aux seuils maximum recommandés par la communauté scientifique. En l'état actuel des connaissances, peut-on se satisfaire de cela ? De toute évidence non. D'autant moins, quand l'on sait que les opérateurs prennent des précautions et des mesures de protection pour leurs agents techniques intervenant sur ces antennes, et qu'un principe de protection est également appliqué aux paysages ! Qu'en est-il alors des citoyens habitant à proximité de ces antennes ? Cela laisse perplexe ! Il est toutefois bon de savoir que toute personne habitant près d'une antenne-relais, peut s'adresser à Bouygues Télécom, qui s'engage à venir faire une mesure des CEM à domicile, gratuite et sur simple demande. Un bon point ! Cette information émane du Directeur général adjoint de Bouygues Télécom et demande à être relayée auprès du plus grand nombre. L'urgence concernant les antennes-relais qui s'est dégagée de cette journée est la nécessité d'études transparentes ainsi que la fixation de normes d'exposition. Il faut savoir que les niveaux d'exposition maximum autorisés sont nettement supérieurs à ceux des autres pays. D'autre part, les niveaux moyens varient considérablement d'un endroit ou d'une ville à une autre. A Paris, par exemple, les accords entre municipalité et opérateurs prévoient des seuils d'exposition beaucoup plus faibles que la réglementation nationale, posant de fait un problème d'égalité des citoyens devant les risques et devant la loi.

Le géobiologue, sourcier des temps modernes

Cette journée s'est conclue sur une note optimiste en abordant les effets bénéfiques des CEM, avec l'intervention d'un médecin spécialiste en IRM. Les apports en terme de diagnostics non invasifs ont été considérables, suivie pour finir de celle d'un géobiologue Suisse, Stéphane CARDINAUX, particulièrement intéressante. Un géobiologue est un spécialiste des ondes et énergies présentes sur un lieu et émanant pour la plupart du sol (ondes telluriques, réseaux Hartmann et Curry, failles géologiques, rivières souterraines ou nappes phréatiques...). Il a parlé succinctement de son métier (une sorte de sourcier des temps modernes) et d'analyses qu'il a faites sur de nombreux lieux "sacrés" et leur influence sur les champs d'énergie vitale du corps humain. Par exemple, parcourir le labyrinthe de la cathédrale de Chartres fait augmenter ce champ vital de 250 %. Les vortex énergétiques, situés souvent près de l'autel des cathédrales et églises, l'augmentent de 500 % à 750% ! Inversement, ce champ vital est affaibli par l'utilisation du téléphone portable et il met une fois et demi le temps de la communication à se rétablir à son niveau normal. A méditer. Stéphane CARDINAUX, a écrit un ouvrage intitulé "Géométries sacrées" aux Editions Trajectoires, et possède un site internet appelé "géniedulieu.ch". L'intérêt qu'il a suscité sur l'assemblée composée pour bonne part de scientifiques de haut niveau était étonnant et encourageant. Merci à Mme KOSCIUSKO-MORIZET d'avoir eu l'idée et le courage de l'inviter.

En guise de conclusion

Ainsi s'est conclue cette journée passionnante et riche d'enseignements, même s'il fut difficile de se faire un avis objectif. Pour beaucoup, cette notion d'incertitude et de contradiction entre les études doit impliquer automatiquement l'application du principe de précaution. D'autant que certains exemples proches de nous vont dans ce sens. Ainsi en Suède, et devant l'augmentation du nombre de personnes ayant développé une hypersensibilité et même une "intolérance" aux CEM, a-t-il été créé des wagons de train isolés des CEM ainsi que des villages comportant le moins de pollutions électromagnétiques possible pour ces personnes dites électrosensibles. Ces cas d'hypersensibilité existent-ils en France, et faudra-t-il attendre que ce phénomène explose pour que l'on réagisse ? La volonté des pouvoirs publics semble aller dans le bon sens, même si l'on manque encore de données fiables. Pour paraphraser l'astrophysicien Carl SAGAN au sujet d'éventuelles civilisations extra-terrestres : "l'absence de preuve n'est pas preuve d'absence". Sans toutefois faire d'alarmisme, soyons vigilants donc, et ce, à tous les niveaux de la société.

Frédéric FORT

Abréviations :
CEM : champ électromagnétique (il résulte du couplage d'un champ électrique et d'un champ magnétique).
ELF : extremely low frequency (très basse fréquence).


Pour en savoir plus lire :

Aux Editions Dangles Collection "Environnement et santé durables":
  • La Médecine de l'Habitat. Comment détecter et neutraliser les ondes nocives pour retrouver mieux-être et vitalité. Jacques LA MAYA Ed. Dangles
  • Habitation et Santé. Eléments d'architecture biologique. Jean-Paul DILLENSEGER Ed. Dangles
  • Les Ondes dans l'Habitat. Leurs effets, comment les détecter et les traiter. Max PONCE Ed. Dangles
(liste non exhaustive)

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